• Espaces publics
  • Projets urbains

Les Belles Vues

Arpajon - Ollainville (91)
  • Concertation
  • Gestion hydraulique à ciel ouvert / Enjeu inondabilité
  • Habiter la Périurbanité
  • Logements neufs
  • Parc urbain

Entre plateau, coteau et vallée, le projet des Belle Vues se fonde en premier lieu sur son inscription dans un territoire : pente, crête et thalweg, (belles) vues lointaines, écoulement de l’eau, bosquets d’arbres, constituent des données fondamentales du projet et fabriquent son unité.

Projet communautaire porté par Coeur d’Essonne Aménagement, il est situé sur Arpajon et Ollainville dont les identités communales et les modes de développement sont différenciés.

L’enjeu est de faire émerger un quartier de vie spécifique à sa situation dans le territoire, qui ne soit ni ville ni lotissement, en privilégiant :

  • une relation forte au paysage autant dans les espaces publics (parc, voies arborées, chemin de l’eau) que dans les espaces privés (tissu urbain autant bâti que paysager, faibles hauteurs de constructions, respect des pentes naturelles)
  • une qualité d’usages et d’appropriation des espaces par les futurs habitants : création d’espaces publics qui rassemblent (le Parc) au-delà du quartier, voies partagées favorisant une autre manière de se déplacer vers les équipements et commerces du quartier et au-delà vers les centre-villes.

  • Espaces publics
  • Projets urbains

Lebon Lamartine

Villejuif (94)
  • Parc urbain
  • Rénovation urbaine

Le quartier Lebon Lamartine est un quartier de son époque, avec les avantages et inconvénients qui en
sont inhérents. On retrouve les éléments disqualifiants génériques de ces quartiers :

  • un quartier mono fonctionnel de logements sociaux, en rupture d’échelle et de forme avec les quartiers voisins
  • une ambiguïté sur la propriété foncière entre les espaces publics et les espaces résidentiels du bailleur Valdevy
  • une nappe de parking en entrée de quartier qui installe un espace de mise à distance avec l’environnement du
    quartier, des sols imperméabilisés avec des revêtements en enrobés vieillis et disqualifiants
  • des bâtiments qui habitent le ciel, mais qui entretiennent peu de rapport au sol Mais c’est aussi un quartier qui bénéficie de qualités importantes sur lesquelles le projet de renouvellement va
    s’appuyer:
  • un patrimoine paysager très présent : les arbres ont été plantés au moment de la construction du quartier. Ils
    ont pu se développer dans de bonnes conditions, en pleine terre, et sont aujourd’hui à pleine maturité. Les
    espaces de jardin donnent des vues changeantes depuis les logements, qui sont appréciées des habitants.
  • un patrimoine bâti dont la réhabilitation va permettre la permanence et l’amélioration du confort de vie des
    habitants avec la rénovation thermique, l’adjonction de balcons et le réaménagement des espaces de rez de chaussée pour accueillir des locaux communs, vélo et locaux à destination d’activités en lien avec l’Economie Sociale et Solidaire
  • une mobilisation active des habitants pour la
    transformation de leur cadre de vie à travers une
    concertation suivie, la participation à des jury citoyens
    pour choisir les projets, un investissement associatif,
    etc…
  • Architectures

Lot A17f ZAC des Belles Vues

Arpajon, Essonne
  • Habiter la Périurbanité
  • Logements neufs

Situé au cœur de la ZAC des Belles Vues et en bordure du Parc, le lot A17 s’inscrit pleinement dans les objectifs urbains architecturaux paysagers et environnementaux du projet urbain d’ensemble.  

Un projet intégré aux valeurs paysagères du site :

  • Une préservation des arbres de la coulée et son amplification.
  • Un jeu de césures et de porosités pour créer des transparences visuelles et paysagères
  • Une bonne intégration des bâtiments dans la pente naturelle du terrain

Un tissu bâti diversifié et adapté au contexte:

  • Des manières d’Habiter :du collectif, de l’intermédiaire superposé, et des maisons individualisées
  • Organisé autour de la cour paysagère :
    • 2 collectifs au nord et au sud en R+2/R+3 qui se répondent et une projection sur le parc et la coulée verte.
    • Une échelle basse sur le Parc : La longère
    • Une intériorité en cœur de parcelle : les maisons

La coulée verte amplifiée et une large place aux espaces paysagers :

  • La cour paysagère comme lieu de rencontre et d’usages pour les habitants
  • La lisière : une frange hydropaysagère en bordure de parc support de la gestion des eaux pluviales à ciel ouvert
  • Une préservation et une amplification de la coulée verte au sud, lieu de biodiversité à l’échelle de l’ilot
  • Des jardins privatifs pour chaque maison et logement collectif en rez-de-jardin

Des Qualités d’habiter :

  • Des typologies du T1 au T5 adapté à tous les besoins
  • Tous les logements bi-orientés (59% traversants, 26% double orientation, 13 % triple orientation)
  • Un espace extérieur pour chaque logement et des locaux annexes à partir du T2
  • Des paliers éclairés et ventilés naturellement

Sobriété, pérennité et performances environnementales :

  • Des matériaux nobles et robustes : brique massive, bois, menuiseries bois
  • Ic Energie et Ic construction Seuil objectif 2025, Biosourcé niveau 1, Bbio -10%, NF HQE très performant
  • Espaces publics
  • Projets urbains

Quartier des Savoirs

Guyancourt (78)
  • Concertation
  • Développement économique et commercial
  • Gestion hydraulique à ciel ouvert / Enjeu inondabilité
  • Infrastructure de mobilité
  • Logements neufs
  • Parc urbain
  • Renouvellement de friches industrielles et/ou militaires
  • Urbanisme transitoire

L’arrivée en 2030 d’une station de métro du Grand Paris / M18 Guyancourt Saint-Quentin Est / sur le site va infléchir les pôles d’équilibres de la commune et générer l’attractivité résidentielle et l’attractivité économique du secteur.

L’arrivée du métro est le fait générateur de la création du quartier des Savoirs.

Ceci étant, l’aménagement de ce quartier créé l’opportunité, rare sur le territoire de la ville nouvelle, de recycler et d’intégrer à l’aire urbaine une friche industrielle de 30ha. Il ne s’agit plus de développer la ville nouvelle par extension et processus de table rase, mais de réveiller des enclaves au sein de la ville pour tisser de nouvelles continuités urbaines.
Le projet urbain que nous avons développé dès le dialogue compétitif en 2017 et pour lequel nous poursuivons les missions opérationnelles, propose des axes de réflexions qui sont devenus des intangibles :

  • conserver une portion conséquente de l’usine (8000 m2), patrimoine architectural du XXe s. construite par Renzo Piano vers 1990 ainsi que le parc qui l’accompagne : à la fois identité du lieu et principe d’activation du site en phase d’urbanisme transitoire
  • installer des porosités fortes avec les quartiers existants pour mettre la gare au coeur d’un réseaux de mobilités douces efficaces et urbaines,
  • faire un quartier mixte, divers et fortement paysager à toutes les échelles de son aménagement.
  • Projets urbains

Portes du Vercors

Sassenage et Fontaine, Isère
  • Gestion hydraulique à ciel ouvert / Enjeu inondabilité
  • Infrastructure de mobilité
  • Programmation d’espaces publics
  • Renouvellement de friches industrielles et/ou militaires

D’une superficie de 95 ha, situé sur les communes de Fontaine et de Sassenage, le secteur des Portes du Vercors est un des derniers espaces peu urbanisé de l’agglomération grenobloise. Au cœur de la plaine de l’Argentière, dominé par les massifs du Vercors et de la Chartreuse et limité par le Drac et l’Isère, le site rassemble actuellement des identités hétérogènes de péri urbanité (zone d’activités, friche agricole, pavillonnaire, centre commercial,..) avec des éléments de grande valeur paysagère et environnementale mal révélés (la Petite Saône, le ruisseau des sables, le Parc de la Poya).

Le projet des Portes du Vercors vise à concilier des enjeux à l’échelle de l’agglomération avec des enjeux de petite échelle, de valorisation et de continuité avec les quartiers de vie existants. La structure paysagère associée aux aménagements de gestion des eaux pluviales constitue l’armature principale du projet et la condition même de ce développement urbain dans un cadre environnemental à préserver et renforcer.

Le projet doit négocier avec des contraintes particulièrement fortes : PPRI, nappe phréatique, pipeline, câble urbain, hypermarché et station service.

La résilience face à l’inondation

Le projet urbain des Portes du Vercors a été conçu autour de la présence de l’eau dans le territoire, s’appuyant sur la proximité des cours d’eau comme sur la gestion du risque d’inondation pour développer une identité forte du projet : habiter au contact de l’eau / remettre l’eau vive dans la ville / créer une prise de conscience des habitants de l’aléa par le paysage changeant du quartier en fonction des épisodes pluvieux.

Le principe de la gestion des risques pris en compte dans le projet est double : limiter les dégâts lors de la montée des eaux et favoriser l’écoulement des eaux pour un retour le plus rapide possible à la normale.

Le projet s’insrit donc dans une démarche globale : de consolidation de la trame verte et bleue, d’intégration du risque inondation dans la conception des espaces publics et des bâtiments (surélévation, transparence hydraulique des rez-de-chaussée) et de mise en valeur des cours d’eau et leur rôle dans la gestion du risque inondation.

1/ Une armature paysagère à haute valeur environnementale

2/ Un  maillage structurant à l’échelle métropolitaine

3/ Une offre de mobilité renforcée avec le nouveau Pôle d’échange multimodal autour de la Poya

4/ Une offre d’habitat diversifiée: un tissu urbain sur l’Allée Métropolitaine et un tissu paysager sur la rue du Colonel Manhès

5/Un quartier animé autour de la place de la Poya

6/Une gestion du stationnement en ouvrage et mutualisé 

  • Architectures

Salle polyvalente Belle Alliance

Groslay (95)
  • Equipement

Sur le site de Belle Alliance, la réalisation d’une salle polyvalente naît de l’absence d’espaces adaptés pour certaines activités dans les bâtiments existants. Le nouveau bâtiment projeté pourra accueillir des ateliers divers (sophrologie, théâtre, gym douce, projets collectifs), des réunions, séminaires internes et évenements pour les partenaires de l’établissement.

Au nord-ouest de l’assiette foncière et en lisière du bois, le bâtiment est pensé pour s’intégrer au mieux au contexte en termes de nivellement, de paysage et d’architectures. L’aménagement d’un nouveau cheminement piéton permet de relier la nouvelle salle aux bâtiments existants et d’améliorer les parcours et l’accessibilité PMR du site: un axe clair du château vers la salle polyvalente.
Dans une recherche de sobriété et d’écriture contemporaine résonnant avec l’histoire et l’échelle du lieu, le choix des matériaux et des traitements de surface vise une architecture délicate, réglée dans une volumétrie simple, sans artefact et dans une jsute échelle par rapport aux avoisinnants. La brique est le matériau référent de Belle Alliance: on le retrouve sur la majorité des bâtiments existants dans des tailles, teintes et appareillages variés. Elle est choisie pour ce projet dans des teintes claires et dans un appareillage soigné. Les angles de la salle sont arrondis, ils protègent la salle, l’intimise. Des ouvertures sont disposées vers le parc pour profiter de la vue sur les arbres depuis l’intérieur de la salle, tout en gardant la confidentialité de l’intérieur en étant sous les boisements.

  • Espaces publics
  • Projets urbains

Projet Cœur de Ville

Bonnières-sur-Seine, Yvelines
  • Développement économique et commercial
  • Logements neufs
  • Programmation d’espaces publics
  • Revitalisation des cœurs de ville

Bonnières-sur-Seine est une commune modeste à la limite du territoire francilien. Installée sur les coteaux de la Seine, elle s’est construite autour de sa rue principale, voie de transit important vers l’ouest du territoire et ses ports. Dernière gare du réseau francilien, le coeur de ville de Bonnières faisait l’objet d’une saturation des espaces publics par la présence des voitures particulières stationnées à la journée et la voie de transit que constituait la départementale en coeur de bourg.

Le déplacement du terrain de foot et du gymnase vétuste à l’entrée de la ville a permis d’envisager la mutation du coeur de ville et surtout d’engager une intensification de son urbanité par des espaces publics piétons qualitatifs et pouvant accueillir différents usages (terrasse, marché, foire, rassemblements…), et par l’arrivée de nouveaux habitants et d’une nouvelle façade commerçante face au marché couvert existant.

Pour permettre la libération des emprises de parking et l’apaisement de la route départementale en voie 30, un parking public de 115 places en ouvrage a été créé dans un des lots bâtis et des nouveaux parcours piétons ont été aménagés pour faciliter l’accès aux écoles et limiter l’usage des véhicules.

Les nouveaux bâtiments de logement s’inscrivent dans les volumétries fragmentées et la petite échelle du centreville. Les implantations et les gabarits répondent à la bonne articulation des bâtiments dans le bourg existant :

• des maisons de ville étroites, avec des jardins de pleine terre, qui prolongent la façade ‘villageoise’ de la rue Pasteur

• des petits collectifs, intégrant des commerces et locaux d’activité en rez-de-chaussée, accompagnent la place publique piétonne. Ils créent une nouvelle façade urbaine très structurante du renouveau de l’image de la ville

• des coeur d’îlot habités, petits collectifs et logements intermédiaires, et fortement paysagers. Cette richesse des coeurs d’îlot est visible depuis le chemin des écoles créée entre la rue Pasteur et la cour des écoles

  • Études urbaines

Port Boyer, Eraudière et Marsauderie

Nantes (44)
  • Parc urbain
  • Programmation d’espaces publics
  • Réhabilitation
  • Rénovation urbaine

Le site se situe en bords de l’Erdre à Nantes. Agricole jusque dans les années 80, son urbanisation rapide s’est faite par grande pièces urbaines hétéroclites (zone d’activité Eraudière, Grand ensemble Port Boyer,restes de tissu de faubourgs, lotissements pavillonnaires …), et n’a pas fait l’objet de réflexion globale à ce jour. L’objectif était de produire une vision d’ensemble cohérente pour structurer le renouvellement urbain, aujourd’hui poussé par l’initiative des opérateurs privés. Nous avons proposé une méthode de travail tenant compte des particularismes et dynamiques spécifiques des différents secteurs:

1 plan guide d’ensemble qui fonde le renouvellement urbain sur une identité paysagère forte en bord de l’Erdre, lien entre les différentes identités urbaines du quartier. La géographie existante est retrouvée avec la prolongation du vallon des Sourdes comme parc public, figure du renouveau du quartier et condition de sa densité. La conception routière du quartier s’efface au profit de nouveaux espaces publics de convivialité

4 sous-secteurs aux identités urbaines singulières, qui sont valorisées pour proposer différentes manières d’habiter au sein du quartier: du collectif dense avec terrasse sur le parc des Sourdes, de l’intermédiaire en creux d’ensembles arborés conservés, des maisons de ville avec coeurs d’ilots jardins, des tours dans un paysage amplifié sur les berges de l’Erdre.

  • Architectures

Lot C3 «Grandeur Nature»

Bondoufle, Essonne
  • Logements neufs

Situé au cœur de la ZAC « Le Grand Parc » des Portes de Bondoufle, le projet bénéficie d’une situation lui conférant une double identité – urbaine côté Place et paysagère le long de l’Allée du Parc.

Pour répondre à cette double identité, le plan masse s’organise autour de 4 unités bâties :
-2 bâtiments en R+4 donnant sur la place à l’ouest avec un rez-de-chaussée commercial.
-2 bâtiments en R+3 tournés vers « l’Allée Parc » en pignon sur rue. Les logements en Rez-de-chaussée bénéficient de jardins privatifs.

L’unité résidentielle trouve son adresse urbaine principale sur la place, par la création d’un seuil commun distribuant l’ensemble des bâtiments. Constitué d’une partie ouverte et de deux préaux latéraux sous bâtiments, ce seuil se prolonge en cœur de parcelle par un cheminement piéton donnant accès aux halls des bâtiments côté Parc, au jardin résidentiel et à l’Allée du Parc publique.

  • Espaces publics
  • Projets urbains

Quartier Georges Othilly

Rémire Montjoly, Guyane
  • Climat tropical
  • Gestion hydraulique à ciel ouvert / Enjeu inondabilité
  • Parc urbain

Avant d’être aménagé par l’EPAG pour devenir le quartier paysage de Rémire-Montjoly, le site de l’Ecoquartier Georges Othily faisait déjà pleinement partie de la ville : de son histoire inscrite dans les chemins qui le traversent pour rejoindre l’ancienne exploitation Vidal ; de son quotidien par la fréquentation des grands équipements scolaires et sportifs qui avaient trouvé leur place à ce croisement des axes majeurs de l’île de Cayenne.

L’Ecoquartier Georges Othily a été conçu pour valoriser ce qui lui pré existait : une série de petits monts émergeant de zones humides, créant une topographie relativement marquée pour le littoral guyanais et favorablement ventilée, en voisinage des grands paysages du littoral et du fleuve, parcouru au quotidien par des lycéens et des sportifs.

Nous nous sommes attachés à proposer un projet urbain qui permette à la fois de tisser du lien dans la ville existante mais qui pose aussi les principes d’une urbanité guyanaise singulière et généreuse. A ce titre il était important pour l’ensemble des acteurs du projet de ne pas chercher à reproduire les ‘clichés‘ de l’aménagement urbain métropolitain, mais de concevoir un quartier répondant à sa situation climatique et qui définisse sa propre esthétique à travers les réponses apportées aux usages et besoins de ses habitants et selon les savoirs faire locaux.

Comment favoriser les déplacements doux à l’intérieur du quartier quand la culture de la voiture individuelle est si prégnante ?
Comment développer un maximum de fraicheur au cœur des îlots de logements ? Comment laisser des espaces dans le projet urbain pour l’appropriation ultérieure par les habitants ?
Où mettre l’argent quand on aménage des espaces publics qui seront soumis à un régime des pluies qui limite la durée de vie des matériaux ?

Nous avons proposé de répondre à une grande partie de ces questions en donnant une large place au paysage, et ce à toutes les échelles du projet urbain (noues, jardins publics, bassins plantés, lisières forestières, cœur d’îlot arborés, bande jardinière devant les bâtiments). Autant d’espaces pour gérer l’interface avec la forêt, limiter l’imperméabilisation des sols, créer de l’ombrage dans les espaces publics, installer des filtres de vues et d’intimité pour les logements. Retrouver dans la ville l’exubérance de la forêt, la qualité de lumière des layons dans les rues partagées.

  • Études urbaines

Caserne Desvallières

Metz (57)
  • Constructibilités et capacités logements
  • Programmation d’espaces publics
  • Renouvellement de friches industrielles et/ou militaires

La caserne Desvallières, derrière ses hauts murs d’enceinte, forme aujourd’hui une enclave de 6ha dans le tissu urbain résidentiel de Devant-les-Ponts.

Recyclage urbain

– Un enjeu fort entre la conservation, la réhabilitation et la mise en valeur du bâtiment de Troupe et des écuries existantes.

– Le projet porte une attention particulière à l’existant : les bâtiments réhabilités viennent se doter de programmes particuliers (une résidence séniors dans le bâtiment de Troupe, de l’artisanat facilement modulable dans les écuries…).

– La Place d’Armes a été pensée comme un lieu fédérateur, un lieu de convergence et de rencontre. L’installation de petits commerces attractifs proposant des terrasses plein sud et d’un parking paysager généreux assurent le bon fonctionnement du nouveau quartier.

Augmenter le paysage, connecter les lieux

– Augmenter le paysage et intégrer un maximum de terre végétale pour favoriser les îlots de fraîcheur.

– La création des continuités paysagères à travers le site qui permet de retrouver de la porosité, du maillage doux dans une trame nord sud et de relier les différents quartiers alentours.

  • Architectures

Jardin avec vue

Limoges
  • Logements neufs

Au départ, il y avait une maison en meulière le long du chemin. Puis son grand terrain a été divisé pour faire un lotissement. Quand la maison a été vendue des années après, son potager est devenu un terrain à bâtir. Le défi fut alors d’implanter une maison dans ce terrain en pente, garder le jardin nourricier et ses fruitiers, s’arranger avec le règlement du lotissement grâce à un PLU volontaire sur l’architecture contemporaine.

Avec la maison posée dans le sens de la pente, étroite et longue pour ne pas occuper le centre de la parcelle, le jardin devient une pièce extérieure protégée dans le prolongement des pièces de vie. Tandis qu’avec l’élévation de la maison sur ses pieux, les baies du séjour donnent à voir le panorama urbain de Limoges lui faisant face, dans une distanciation sereine.

Économie budgétaire, économie d’espaces mais aussi économie du sol avec des fondations en pieux vissés dans la terre : un impact minimum sur le terrain dans la mesure où ceux-ci peuvent être simplement dévissés si la maison devient obsolète. Déconstruire plutôt que démolir.