• Architectures

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Triel-sur-Seine (78)
  • Logements neufs

Les logements s’installent en surplomb de la rue Paul Doumer, au-dessus du mur de soutènement existant et partiellement conservé. Ce mur est percé pour organiser quatre entrées pour les logements sous forme de cours piétonnes où se trouvent les lieux ‘partagés’ entre les habitants : boites aux lettres, bornes ordures, accès aux parkings. Au-delà des fonctions de services les cours organisent le passage entre le niveau de la rue et le niveau du jardin haut, sur lequel s’ouvrent la plupart des logements. Les bâtiments qui composent cette résidence sont de deux natures : des plots de logements intermédiaires (accès individualisés et jardins privatifs, comme des maisons superposées) et des bâtiments collectifs en second plan. Les logements, de par la position des bâtiments en surplomb et leurs orientations, ont de larges balcons au sud s’ouvrant sur le paysage de la Seine.

Construire dans le coteaux
Un terrain complexe, en pente, sous la voie ferrée et en surplomb de la rue Paul Doumer.

Habiter un jardin
La gestion des stationnements en ouvrage au niveau de la rue Paul Doumer permet de dégager une large cour plantée

Diversité des logements
Des logements intermédiaires sur rue – maisons superposées -, dans la continuité des maisons de ville existantes | des collectifs sur jardin avec des vues imprenables sur le paysage de la Seine.

  • Études urbaines

Un nouveau franchissement de la Loire

Territoire orléanais (45)
  • Infrastructure de mobilité

Dans le cadre des travaux autours du SCoT et du Plan de Déplacement Urbain, Orléans Métropole a souhaité initier une étude prospective et urbaine élargie afin d’apprécier les conditions d’insertion et les répercussions d’un potentiel nouveau franchissement de la Loire à l’Est du territoire Orléanais. L’objectif de ce possible futur ouvrage, inscrit dans les documents de planification depuis 40 ans, est de répondre à l’enjeu de fluidité des flux routiers du territoire orléanais selon un axe nord/sud au-delà de 2035 mais également de favoriser les mobilités alternatives dans les secteurs les plus denses et de penser un équilibre cohérent du territoire au-delà des frontières administratives.

Dans une approche complémentaire à l’étude de circulation qui a démontré la pertinence de réalisation de ce maillage d’échelle territoriale au regard des enjeux de déplacement de la Métropole d’Orléans, cette étude prospective entend, sur cette base, mettre en évidence et analyser les impacts, positifs comme négatifs, de cet ouvrage à trois échelles:

-Echelle de la métropole et au delà

-Echelle de l’infrastructure (de la tangentielle est à l’avenue Gaston Galloux) et des territoires traversées

-Echelle de l’ouvrage de franchissement de la Loire et de ses deux rives.

  • Projets urbains

Liers les franges

Sainte-Geneviève des Bois, Essonne
  • Habiter la Périurbanité
  • Revitalisation des cœurs de ville

Situé en limite nord de la Francilienne, éloigné du centre-ville de Sainte Geneviève des Bois, le projet du secteur des Franges /Bois de Liers a été de conforter et valoriser l’ancien village de Liers en développant des opérations de logements et de services sur de larges emprises foncières disponibles.

Notre mission a été d’élaborer au préalable une vision urbaine et paysagère cohérente de ce développement, puis un plan guide opérationnel et le suivi des opérations de logements.

La programmation et le projet urbain ayant été profondément modifiés en cours de projet, seulement 2 opérations d’habitat ont été réalisées selon le Plan Guide et nos préconisations, et nous nous sommes retirés de la démarche suite à ce changement de programme. Ce sont ces 2 opérations cohérentes avec les principes élaborés qui sont ici montrées.

  • Architectures

Jardin avec vue

Limoges
  • Logements neufs

Au départ, il y avait une maison en meulière le long du chemin. Puis son grand terrain a été divisé pour faire un lotissement. Quand la maison a été vendue des années après, son potager est devenu un terrain à bâtir. Le défi fut alors d’implanter une maison dans ce terrain en pente, garder le jardin nourricier et ses fruitiers, s’arranger avec le règlement du lotissement grâce à un PLU volontaire sur l’architecture contemporaine.

Avec la maison posée dans le sens de la pente, étroite et longue pour ne pas occuper le centre de la parcelle, le jardin devient une pièce extérieure protégée dans le prolongement des pièces de vie. Tandis qu’avec l’élévation de la maison sur ses pieux, les baies du séjour donnent à voir le panorama urbain de Limoges lui faisant face, dans une distanciation sereine.

Économie budgétaire, économie d’espaces mais aussi économie du sol avec des fondations en pieux vissés dans la terre : un impact minimum sur le terrain dans la mesure où ceux-ci peuvent être simplement dévissés si la maison devient obsolète. Déconstruire plutôt que démolir.

  • Architectures

Sous un toit

Craon, Mayenne
  • Réhabilitation

Cette ancienne ferme a la particularité d’avoir été abandonnée pendant 40 ans au milieu de son terrain de 6ha. Ceci lui confère d’être l’un des rares ensembles de la région n’ayant pas subi trop de modifications au fil du temps. Le site est ainsi classé en ZPPAUP. Tout en conservant les grandes caractéristiques de l’ensemble, le projet tire parti du seul dénominateur commun des bâtiments de la cour carré : les toits en ardoise. C’est ainsi le prolongement des toits qui réunit deux des bâtiments, objets de la restructuration. A leur rencontre est installée une grande gouttière qui permet de récupérer les eaux de pluie dans deux citernes enterrées. Du fait des contraintes patrimoniales, l’isolation est réalisée à l’intérieur en blocs de chaux chanvre qui permettent de conserver une certaine inertie aux murs existants en pierre. Cette inertie est mise à profit d’un poêle de masse, seul corps de chauffe de la future habitation.

  • Architectures

Les Tilleuls

Triel (78)
  • Logements neufs

Dans un contexte de tissu urbain ancien caractérisé par ses échelles bâties et son rapport à la pente (étagement successif), le projet est fondé sur une démarche d’attention à la juste échelle et à une inscription fine des volumétries dans le site :

– Exploiter le dénivelé amont pour installer une volumétrie dont la hauteur est peu perceptible depuis les parcelles riveraines notamment vers l’amont.

– S’implanter dans le terrain en s’adossant sur le mur de soutènement mitoyen amont de manière discontinue pour orienter clairement le bâtiment (cour arrière et jardin devant)

– Gérer la très grande majorité du stationnement dans un socle/RDC en adossement du mur arrière pour libérer le maximum des espaces extérieurs vers le sud et l’ouest au bénéfice d’un espace résidentiel piéton et paysager, et de mettre en valeur la chapelle en maintenant et valorisant le jardin latéral existant qui la cadre.

– Organiser une discontinuité volumétrique des 2 derniers niveaux, afin de respecter les volumétries et échelles bâties alentours (respect du tissu urbain de petite échelle), de ménager des vues pour les avoisinants et d’éviter toute frontalité linéaire continue (sauf le RDC et les 2 premiers niveaux pas ou très peu visibles depuis l’espace public).

Une architecture sobre, réglée dans une volumétrie simple, sans artefact ou gesticulation inutile.

Les Jardins : le projet réserve une large part de l’espace non bâti pour développer une qualité paysagère au sein de la parcelle, avec l’aménagement d’un verger et d’un jardin de curé mettant en valeur la chapelle Sainte Anne.

  • Espaces publics

Le boulevard Sud

Saint Denis de la Réunion (974)
  • Climat tropical
  • Infrastructure de mobilité

Séquence urbaine de la RN 6 en traversée de Saint-Denis de la Réunion, le boulevard sud a été réalisé en phases successives sur 25 ans.

L’infrastructure au service du développement urbain

A l’origine conçue comme une voie rapide ‘urbaine’ en contournement de Saint-Denis et sans relation avec la structure urbaine, la conception de cet axe de déplacement a été complètement revue en ‘boulevard ’ au début des années 90. Le développement urbain conséquent a rendu nécessaire de croiser des enjeux de transit sur un des axes majeur de l’île de la Réunion avec des enjeux de desserte urbaine et d’amélioration des relations entre les différents quartiers.

  • Architectures

Intérieur parisien

Paris (7e)
  • Réhabilitation
  • Études urbaines

OIN 15 | Sablance

Macouria, Guyane
  • Climat tropical

Sablance, un vaste quartier informel entre route nationale et plages.

  • Études urbaines

La Carelle et Bords de l’eau

Villeneuve-le-Roi (94)
  • Constructibilités et capacités logements
  • Développement économique et commercial
  • Renouvellement de friches industrielles et/ou militaires

Le secteur de la Carelle, lieu des activité économiques, doit se renouveler sur lui-même autour de sa dimension portuaire : 3 km de façade fluviale à régénérer en quais fonctionnels et qualitatifs.

Avec la reconquête des berges du lac de l’île aux oiseaux, de nouveaux lieux ouverts au public émergent : des espaces de promenade, une forêt urbaine, une esplanade ouverte aux possibles, des terrasses et restaurants en bord de l’eau… C’est une nouvelle destination à l’adresse des habitants de la ville, un espace de rencontres tourné vers les activités de loisirs liées à la présence de l’eau et aux rassemblements festifs. Une dynamique de la mutation des activités économiques vers des usages plus écologiques liées au transport fluvial : La requalification des quais pour un meilleur usage portuaire de la zone économique doit entrainer une mutation des activités en place de manière à non seulement améliorer la qualité d’aménagement de l’ensemble, mais surtout à reporter une bonne part du trafic routier sur la Seine.

  • Études urbaines

Vieux Puits – Paradis

Lucé (28)
  • Concertation
  • Constructibilités et capacités logements
  • Programmation d’espaces publics
  • Renouvellement de friches industrielles et/ou militaires
  • Rénovation urbaine

Le secteur Foreau-Est à Lucé, composé majoritairement d’habitat social, se situe le long d’un tronçon de voie ferrée aujourd’hui désaffectée.

L’ambition du projet porte sur :

  • le renouvellement de ces quartiers via la valorisation de deux sites industriels en friche,
  • la transformation de la voie ferrée en voie verte portée par la ville,
  • la mutation d’une zone d’activité et d’un mail commercial en désuétude.

L’étude propose de baser le renouvellement urbain sur une nouvelle trame paysagère faisant couture entre les différents pièces du quartier:  des ensembles de logements existants rénovés et ré-adressés sur la voie verte, des nouvelles typologies de logement intermédiaire, deux nouveaux groupes scolaires ouverts sur les parcs, une place et sa halle, nées des concertations auprès des habitants.

  • Études urbaines

Cœur de Champagne

Champagne-sur-Seine, Seine et Marne
  • Concertation
  • Revitalisation des cœurs de ville

La Ville de Champagne-sur-Seine a engagé une démarche concertée pour la requalification de son centre-ville en s’appuyant sur l’opportunité de mutation de l’emprise de l’ancien lycée Clémenceau, fermé depuis 2015. La ville cherche à redonner une nouvelle identité à son centre-ville par les espaces publics, renforcer l’offre en services et commerces et développer une plus forte mixité sociale.  L’étude a consisté à accompagner la ville dans une démarche de co-construction intégrant plusieurs ateliers citoyens participatifs pour définir un projet d’ensemble de requalification du « Coeur de Champagne». Il comprend des orientations pré-opérationnelles de requalification des espaces publics, dont l’aménagement d’une grande place-jardin, la programmation d’un équipement public (Médiathèque) et la définition d’une opération d’une soixantaine de logements en accession.

Cette démarche pré-opérationnelle co-construite avec les habitants et les élus a permis d’engager une consultation opérationnelle pour la réalisation du projet.